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La victoire pour Brunson
Après ES10
Bouquigny-Troissy-Nesle-le-Repons-Festigny-Mesnil-le-Hutier-Leuvrigny
(21,505 km)
La Champagne réussit à
Eric Brunson. Il inscrit son nom au palmarès du Rallye
Epernay-Vins de Champagne pour la deuxième fois après 2008
(Rappel : 2e lors de la Finale 2004). En signant le
dernier temps scratch, José Barbara permet le doublé de la
marque Subaru dont il est concessionnaire. Il se contente à
nouveau d’un podium. Ce n’est pas encore cette année, qu’Alain
Vauthier va remporter un septième succès.
Eric Mauffrey a conservé
sa 4e place tandis que la 5e revient à
Dominique Rebout avec sa C2 Super 1600 qu’il commence à prendre
en mains. Benoît Genre l’a laissée filer à cause d’un cardan
arrière droit cassé consécutif à sa précédente touchette dans la
dernière ES. S’il conserve les commandes du Groupe N, il chute à
la 10e place.
Le meilleur régional est
l’Ardennais Stéphane Baudier, 7e. Premier des C2-R2
Max, Eddy Berthelot était ravi de son expérience.
54 équipages ont rallié
l’arrivée.
Déclarations
- Eric Brunson (Subaru
Impreza WRC), 1er : « C’est un rallye qui me réussit
bien ! La victoire ne fut pas facile à acquérir en raison des
conditions d’adhérence précaires. Le choix de partir en slicks
était audacieux. Il fallait tenir la voiture sur la route. J’ai
appris encore durant ce week-end. »
- José Barbara (Subaru
Impreza WRC), 2e : « Dans les quatre premières ES,
j’ai calé trois fois et effectué un tout droit et calé qui m’ont
coûté à chaque fois quelques dizaines de secondes. Je n’ai pas
trop cru en mes chances. Quand je vois que je signe le scratch
dans la dernière ES, je pense qu’il y avait moyen d’aller
chercher Brunson. Tant que je ne gagne pas, je continue de venir
à ce rallye ! »
- Alain Vauthier
(Peugeot 206 WRC), 3e : « Il n’y a pas de honte à
terminer derrière Brunson, un vice-champion de France. Ma course
d’hier m’a
coûté cher. Aujourd’hui, j’aurais fait ce qu’il fallait. »
- Eric Mauffrey (Renault
Clio R3), 4e : « Ce fut une course difficile par ces
conditions changeantes. On n’avait pas toujours les bons pneus
quand il le fallait. Hormis un tête-à-queue dans l’ES2, je n’ai
pas commis d’erreurs alors qu’il y a tellement d’endroits pour
s’y mettre. »
- Eddy Berthelot
(Citroën C2-R2 Max), 1er C2-R2 Max : « Je ne pensais
pas du tout à un tel résultat ! »
- Stéphane Baudier
(Renault Clio Maxi), 7e : « Un bon week-end ! Je suis
à ma place avec ma voiture. »
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