Communiqué

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Premier coup du chapeau pour Germain Bonnefis !

 

Germain Bonnefis a conclu la première des deux boucles de trois spéciales au menu du jour comme il l’avait commencée : par un scratch ! Le pilote de la Peugeot 207 S2000 a même atomisé la concurrence dans le chrono le plus long du rallye. Cyril Féraud, sur l’une des nombreuses Lancer, pointe à 1mn39, Hugues Lapouille sur une Subaru Impreza à 1mn41, Serge Gillouin (Lancer) à 1mn43 et Noël Tron à presque deux minutes…



 

Meilleur temps ES 3
Germain Bonnefis (Peugeot 207 S2000), 14mn28s0

Podium après ES 3
Germain Bonnefis en 31mn18s3 – 2. Tron (Mitsubishi Lancer Evo 10) à 2mn56s8 – 3. Gillouin (Subaru Impreza) à 3mn30s4.

Conditions de route : routes grasses et humides. Un peu de pluie.

Déclarations
Germain Bonnefis (Peugeot 207 S2000) : « On a roulé très proprement, sans prendre de risque. On sacrifie les freinages pour se concentrer sur les relances. On a eu un léger souci en milieu de spéciale avec une odeur bizarre dans l’auto et piquante pour les yeux. Mais elle s’est dissipée. »
Paul Chieusse (Peugeot 307 WRC) : « Cela fait deux heures que je roule sans direction assistée. Il y a une fuite au niveau du bocal. Un tuyau s’est débranché. J’en ai plein les bras. »
Cédric Hennion (Citroën C4 WRC) : « C’est inconduisible, je ne prends aucun plaisir.»
Michel Bonfils (Subaru Impreza WRC) : « C’est dommage un temps pareil ! Car sur le sec, on pouvait vraiment bien s’amuser. Ce n’est pas évident dans ces conditions. »
Hugues Lapouille (Subaru Impreza) : « Il n’y a que des gros pièges dans lesquels il ne faut pas tomber. J'ai baissé la pression des pneus. Cela allait un peu mieux mais ce n’est encore ça. »
François Lethier (Peugeot 206 WRC) : «Nous sommes sortis dans un caniveau. Un amortisseur est cassé et nous avons tout arraché, les pare-chocs avant et arrière, l’aile avant gauche... »
Wim Soenens (Subaru Impreza WRC) : «Ca glisse beaucoup. On a du faire une dizaine de fautes, sorties, tête à queue… »
Alain Deveza (Subaru Impreza Gr.A) : « J’ai été gêné en fin de spéciale pour le concurrent parti devant nous. » Serge Gillouin (Subaru Impreza Gr.A) : « On s’est régalé dans cette spéciale. On a bien roulé. Mais j’ai tapé légèrement et on s’est loupé dans un changement de direction. J’étais un peu perdu au milieu de la rubalise. On a dû perdre 15 bonnes secondes. »
Christian Roulet (Subaru Impreza) : « On a frôlé beaucoup de bottes de paille. On était encore dans la trajectoire. »
Hervé Gaidoz (Subaru Impreza) : « Cela ne va pas spécialement bien. On s’appuie trop sur les bottes de paille. On cale une fois et on fait un tête à queue et plein de tout droit. »
Jérôme Clarety (Subaru Impreza) : « On a un différentiel d’origine. On fait ce que l’on peut. Cela ne freine pas terrible et cela ne relance pas très bien. »
Noël Tron (Mitsubishi Lancer) : « J’ai bien roulé deux kilomètres, ensuite j’étais crevé. Je ne sais pas où cela a pu arriver. Ensuite, j’ai essayé de limiter les dégâts au maximum. »
Nicolas Rivière (Mitsubishi Lancer) : « C’est très dur de conduire car il y a de gros changements de grip tout au long de la spéciale. »
Cyrille Féraud (Mitsubishi Lancer) : « Nous avons été très prudents. J’avais trop peur de faire des bêtises mais tout compte fait, le grip était meilleur dans celle-ci que dans les précédentes. »
Matthieu Arzeno (Citroën DS3 R3) : « Je me suis ‘tanké’ dans la première épingle. »
Jean-Sébastien Vigion (Citroën DS3 R3) : « On a essayé de rouler. Parfois, je conduis mais parfois, c’est l’auto qui décide. »
Mathieu Maurage (Citroën DS3 R3) : « On commence à comprendre le fonctionnement mais on a quand même effectué beaucoup de passages dans les champs. »
Cédric Cherain (Citroën DS3 R3) : « Je n’ai jamais connu ça de ma vie. On irait plus vite avec un tracteur. »
Bertrand Latour (Citroën DS3 R3) : « C’est vraiment inconduisible. »
Vincent Dubert (Citroën DS3 R3) : « J’ai tapé un truc de face mais je ne sais pas ce que c’était. Ca a fait un bruit d’enfer mais, à part la grille à l’avant, il n’y a rien.»
Stéphane Consani (Citroën DS3 R3) : « C’est très dur. On essaie de survivre. »
Quentin Gilbert (Citroën DS3 R3) : « Il ne faut surtout pas faire de faute. Nous n’en avons pas faite mais parfois, c’était tendu. »
Kévin Demaerschalk (Citroën DS3 R3) : « C’est très dur pour moi, pour mon premier rallye sur terre. »